Le parapluie, patrimoine d’ici et motifs d’ailleurs

Le parapluie, patrimoine d’ici et motifs d’ailleurs

Le musée a construit avec le CADA (centre d’Accueil pour les Demandeurs d’Asile) et les élèves du lycée Saint-Géraud BTS Communication, un projet autour d’un incontournable du patrimoine local : le parapluie.

Ce projet permet dans un premier temps de découvrir l’histoire du parapluie et son importance dans le paysage culturel local, en mettant en lumière les hommes et femmes qui ont développé et fait perdurer ce savoir-faire tout au long des générations. Cette présentation a été complétée par une visite des collections de parapluies au sein du Musée d’art et d’archéologie et de la visite de l’atelier de fabrication de l’entreprise Piganiol. Un travail orienté sur le motif sera le point de départ d’un atelier créatif. Les participants proposeront des motifs traditionnels, populaires issus de leurs cultures respectives.

Leurs créations seront exposées dans les vitrines des commerçants de la rue des Carmes début septembre puis figureront lors de l’exposition anniversaire des 50 ans de l’association France terre d’Asile, à partir du 22 septembre dans l’atrium du centre Pierre Mendès France.

Plusieurs rendez-vous seront proposés pour suivre ce projet, rendez-vous sur nos réseaux sociaux !

 

Visite de l’entreprise Piganiol

 

Afin de rencontrer les commerçants de la rue des Carmes, les élèves du lycée Jean Monnet – option communication ont réalisé une plaquette dans laquelle vous trouverez les détails de cette collaboration. Merci à eux !

     Travail en atelier

   Au premier plan, les élèves du Lycée Saint-Géraud réalisant la plaquette

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Téléchargez  la plaquette en cliquant sur l’image ci-dessus

Du nouveau au Musée d’art et d’archéologie

Du nouveau au Musée d’art et d’archéologie

De nouvelles œuvres vont bientôt rejoindre les cimaises du musée d’art et d’archéologie

L’enrichissement des collections constitue l’une des missions fondamentales des musées de France. En novembre 2020, le musée d’art et d’archéologie a acquis deux œuvres en vente aux enchères. Il s’agit de deux portraits peints sur panneaux du XVIIe, attribués à l’école flamande par la maison de vente, mais en réalité réalisés par François Lombard artiste originaire du Cantal et qui proposent plus exactement l’autoportrait du peintre ainsi que celui de son épouse. Réalisée avec l’accord et le soutien de la DRAC Auvergne Rhône Alpes, cette acquisition va permettre de présenter un éventail plus large de la production artistique régionale dans le parcours permanent du musée.

Ces tableaux intègrent donc le nouvel accrochage des salles de Peinture, réalisé pendant les temps de fermeture, qui fera l’objet d’une présentation spécifique auprès du public par les chargés de collection dès que les portes des musées pourront rouvrir.

Figures de l’indicible

La Grande Guerre dans les œuvres de Thérèse Bisch

Au musée d’art et d’archéologie du 8 mars au 30 novembre 2018

Comme en 2014 à l’occasion de l’exposition « La mémoire préservée, une collection privée inédite, 1914-1918 », la Ville d’Aurillac a souhaité s’associer une nouvelle fois aux commémorations du centenaire en présentant une exposition de peintures. Cette dernière présente une trentaine de toiles de Thérèse Bisch, des tableaux et des dessins qui invitent le visiteur à une véritable immersion dans l’univers de la Grande Guerre avec ses « figures de l’indicible »

Les tableaux de Thérèse Bisch évoquent le conflit avec ses représentations de soldats aux visages flous, aux silhouettes évanescentes combattant dans la brume ou la fumée des bombes.

Une mise en scène intimiste dévoile une sorte d’allégorie figurée dans une fresque qui suggère plus qu’elle ne montre les réalités de ce conflit. Et comme le dit son ami Michel Melot « Peindre est une autre façon d’exorciser la guerre. Thérèse Bisch y a trouvé son champ de bataille. »

ATTENTION : cette exposition n’est accessible qu’aux nouveaux horaires d’ouverture des musées.

Image : Les tombes, 2014 – pigments et tempera sur toile marouflée 60 x 118 cm
© C.Septet